TRUMP vient d'agir en Syrie, hors des clous de l'ONU et sans en référer à son Congrès.
Un média belge signale que leprésident américain invente la guerre impulsive.
Bazooka-Trump guerroie comme il tweete: en saillie.
La guerre en 140 signes. Avec 59 tomahawks.
Il semble que 19 seulement aient atteint leur cible.
Que sont devenus les 36 missiles qui n'ont pas atteint leur cible. Il se murmure qu'ils ont été interceptés. Par qui ? Par les Russes?
Poutine tout comme la Bolivie et d'autres nations fustigent cette attaque contre la souveraineté d'un pays et contraire au droit international.
Le Président russe a dit ne plus coopérer à l'avenir dans la zone avec les USA et envisage des représailles.
Mélenchon fustige l'alignement de François Hollande et de Merkel à Trump et sa politique du pire.
Au fait, qui a déstabilisé le moyen-orient par une invasion de l'Irak?
Les américains, clairement.
LES ENJEUX GAZIERS EXPLIQUENT LA GUERRE des OCCIDENTAUX CONTRE LA SYRIE
Très tôt en 2013, ce blog Neidinger avait signalé les enjeux gaziers du conflit syrien. Alors que personne n'évoquait encore cette problématique de géostratégie.
Médias alors tournée vers les "gentils rebelles" financ"s par le Qatar et l'Arabie Saoudite.
A la fois ceux off shore que l'on a découverts en 2009/10 et les enjeux de la sortie gazière du Qatar et de l'Arabie Saoudite qui comme tout enfant peut le voir sur une carte passe, comme par hasard par...la Syrie.
Je cite l'excellent article récent du blogueur Homme Libre sur le même thème du gaz. et sur l' esthétisme déplacé par le journal Libération autour de cadavres d'enfants.
Sylvie Neidinger